Bazar

Une confiture de lettres

Dimanche 19 juin 2011 à 1:58

Toujours cette poupée. Elle la tient fermement dans la main, la presse même. Si le bambin pouvait parler, il crierait. S'il était pourvu de sentiments, il pleurerait. La robe pleine de volants roses écœurants étaient déchirée, et sur le visage de cire de la poupée dont un oeil manquait, un sourire moqueur était toujours présent, comme s'il hantait le corps du jouet délabré...

Ldina marchait vers l'étang, remplit de larmes et reflettant nombres de peines, les étoiles s'en étaient renversées.. Elle y jetta la poupée qui fît perdre aux astres leurs éclats, perturbant ainsi l'univers tout entier...

Et maintenant elle se sentait si bien. L'étang devenait plus calme, les vaguelettes n'étaient que passagères... Assise au bord de l'eau, son passé s'était noyé et les lumières dans l'eau reflétaient, sur les habits sales du jouet, un nouvel avenir; elle oublierait d'haïr. Elle n'avait à cela plus de raisons, douce Ldina commencent floraisons... 




Mardi 7 juin 2011 à 22:39

Que donnerai un wesh pour s'offrir un cerveau?
Peu de choses, dans son esprit, petit ruisseau

ne voit la vérité que tu peux contempler,
toi, dont les yeux ouverts à la réalité

connait les fleuves, la mer et ces larges contrées,
Jamais tu n'es soumis à la facilité.

Mais s'élèvent tant de questions sans réponses,
Perdu dans un enchevêtrement de ronces,

Tes pensées s'égarent parfois, vagabondes,
puis s'évaporent lorsqu'au loin gronde


Mère nature se réveillant pour t'apporter
quelques douceurs dans un univers enragé...

  
     un petit message pour redonner courage,

             A facilité, point d'honneur mérité!



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