J'aimerai pourrir, à regarder la mer.
Me sentir à la fois libre et mourante, devant les vagues destructrices.
Elles me lècheraient les pattes et je la regarderait, tout sourire,
Elles ne m'attraperaient pas, seul l'air me nourrit.
Je me laisserait gémir à la mort enjôleuse,
je la veux seule amante, douloureuse,
Me cachant du monde, de ma bêtise et mon esprit...
Les gens me haïraient, d'autres s'en moqueraient,
Mais perdue entre ces chaines dont j'ai perdu la clé,
Je me libère fuyant cette terre, devant la mer,
Laissant derrière moi quelques larmes salées...
Bazar
Une confiture de lettres
Bazar
Une confiture de lettres
Catégories
Aucune catégorie.Archives
- octobre 2013 (1)
- septembre 2013 (2)
- août 2013 (4)
- juillet 2013 (3)
- juin 2013 (2)
- mai 2013 (2)
- janvier 2013 (1)
- décembre 2012 (4)
- septembre 2012 (1)
- août 2012 (1)
- juillet 2012 (1)
- juin 2012 (1)
- mai 2012 (2)
- février 2012 (3)
- janvier 2012 (1)
- décembre 2011 (1)
- novembre 2011 (2)
- octobre 2011 (2)
- septembre 2011 (1)
- juillet 2011 (3)
- juin 2011 (2)
- mai 2011 (6)
Mots-clés
Dimanche 11 décembre 2011 à 21:37
Date de création
Dimanche 17 novembre 2013Dernière mise à jour
Dimanche 17 novembre 2013Derniers commentaires
Aucun commentaire.Liens
Aucun lien.Tagboard
<< Page précédente | 1 | Page suivante >>